Je suis Charlie

Difficile d'y échapper cette semaine (c'était très présent dans les nouvelles aux Etats-Unis aussi), et c'est encore pire quand on ne peut pas participer aux manifestations (y'en avait une à Portland, mais j'ai pas pu y aller).   Je peux pas dire que je lisais Charlie Hebdo, mais Cabu je le voyais tous les mercredis à récré A2 dans les années 80.  C'est mon enfance qu'on assassine.   Et puis je les admire parce que moi, même pour un blog que personne ne lit, je suis toujours en train de me demander si je ne vais pas froisser quelqu'un.  Ça doit être vraiment cool de s'en foutre.  Et c'est important que quelqu'un le fasse, c'est presque un service public.   Malheureusement c'est aussi dangereux.

Photo (manquante) les ongles d'Alice (que j'ai vue ce matin sur Skype) avec marqué C-H-A-R-L-I-E au vernis (tiens, elle a 7 doigts à chaque main?  J'avais jamais remarqué... ).

Rajout: la photo n'est plus manquante, merci à ses parents qui voulaient me prouver que leur fille n'était pas difforme:

Sur ce, retour aux nouvelles pas importantes: Les voisins ont coupés deux cèdres qui nous faisaient de l'ombre.  C'est super sauf que comme c'était aussi là qu'il y avait le plus d'ombre, c'est là où on avait installé les poteaux pour le hamac.  Je vais faire ma sieste au soleil l'été prochain.

 Voici le jardin du voisin (vous pouvez aussi voir la barrière neuve au fond, qu'ils ont remplacé quand le premier cèdre était tombé dessus en décembre, ce qui est la raison pour laquelle ils ont coupé les deux autres).

Et  notre jardin.  Maintenant:

 Pour vous donner une idée, voici une mauvais photo de cet été du même coin:

Quotas: Jude fait une mission de sauvetage avec son hélicoptère, Erik procure l'énergie de propulsion.  

 Jude avec la  chemise que lui a offerte Amée et le pull qu'elle a tricoté (qu'il ait accepté de porter les deux ensemble mérite bien une photo, voire plusieurs).  Première photo:

 Quatrième photo:

Photo d'Ismael qui n'a aucun intérêt mais sinon on risque de m'accuser de partialité.

Série troncs:  ma dernière trouvaille

J'ai aussi commencé à photographier une nouvelle série (on s'occupe comme on peut):  les parcs à  vélo.  Ça a l'air bête comme ça mais y'en a des sympas et une grande diversité en Orégon.  Celui-ci est derrière la bibliothèque universitaire.

Et dans notre série "les américains ne sont vraiment pas doués pour le français", voici une boîte de "petite palmiers".  ni accord en genre, ni accord en nombre, comme ça on fait pas de jaloux.  Heureusement ils étaient bons.